Une nouvelle affiche et une sortie Bluray collector australienne (Umbrella Entertainement) pour Tenshi no Tamago
A quelques semaines à peine du coup d'envoi des projections pour la version restaurée 4K de l'Oeuf de l'Ange, Yoshitaka Amano a dévoilé sur ses réseaux une nouvelle affiche somptueuse autant qu'inattendue, réalisée pour fêter l'évènement comme il le mérite - laquelle renverse les rôles en portant cette fois l'attention sur le personnage du jeune homme (figure symbolique ambiguë à souhait).
On en a que plus hâte de se joindre à la fête, toujours prévue en France pour le 3 décembre, avec la complicité du distributeur Eurozoom !
Sortie espérée de longue date qui, à n'en pas douter, sera suivie de près par la commercialisation d'une édition Bluray made in France - sans que cette supposition n'ait cependant été confirmée à ce jour (en espérant un joli collector comme nous en avons le secret).
Dans le doute (sait-on jamais), le collectionneur fébrile serait avisé de se tourner vers l'Australie en général, et vers le site du distributeur Umbrella en particulier - lequel propose d'ores et déjà deux éditions à la pré-commande, avec une date de sortie annoncée pour le... 3 décembre, il n'y a pas de hasard).
Au nombre des bonus présents sur les précieuses galettes (toutes éditions confondues) : les bandes annonces, un entretien avec Mamoru Oshii, le commentaire audio d'Amber T (spécialiste du cinéma d'horreur), et un documentaire sur l'influence du film à travers les âges.
Eût égard à l'excellente réputation de la société Umbrella (contrairement à celle de sa contrepartie vidéoludique), laquelle est exclusivement composée de cinéphiles passionnés, et au fait que leurs Bluray soient compatibles avec nos lecteurs, les amoureux du film capables de lire quelques sous-titres anglais (l’œuvre n'est de toute façon pas très bavarde...) pourront sauter sur l'occasion pour ajouter une pièce rare à leur vidéothèque - en attendant de voir ce que la France a elle-même en réserve, en la matière.
En tout cas, chez l'Encre et les Toiles, on a déjà craqué. Quitte à re-craquer par la suite (et autant de fois qu'il faudra).
(dont les amateurs de cinéma dit "de genre" seraient bien avisés d'éplucher le somptueux catalogue à fond)


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